Noix de cajou au zaatar
Burkina Faso
Noix de cajou rôties et assaisonnées de zaatar. Le Zaatar provient de Palestine et se compose de thym sauvage, de sumac, de graines de sésame grillées, de cumin et de sel.
Stockez noix et graines dans un récipient bien fermé, au frais et à l’abri de la lumière. Veillez à ce que ce récipient soit hermétique, afin de les protéger de l’humidité. Pour prolonger leur conservation de quelques mois, vous pouvez aussi les congeler.
- Cultivées par 3031 familles agricultrices sur 5.4 ha en moyenne dans les régions des Hauts-Bassins, du Sud-Ouest, des Cascades et du Centre-Ouest au Burkina Faso
- Agriculture biologique, pas d’irrigation, récolte et tri à la main, jamais réemballées, entièrement transformées sur place, transport : en camion des champs à Bobo-Dioulasso, puis en camion jusqu’à Abidjan, puis par bateau jusqu’à Rotterdam, 100 % des collaborateurs travaillant dans la transformation des noix de cajou ont des contrats de travail, leur salaire est égal ou supérieur au salaire minimum
- Achat juste après la récolte auprès de coopératives et de familles d’agriculteurs, depuis 2005
- Potentiel d’amélioration : former les familles d’agriculteurs, afin qu'elles se considèrent comme des entrepreneuses, promouvoir une agriculture innovante et la biodiversité, augmenter les salaires les plus bas chez gebana Burkina Faso
Valeurs nutritives pour 100g | |
---|---|
Énergie | 2272kJ/543kcal |
Graisse | 41 g |
dont acides gras saturés | 7.7 g |
Glucides | 25.4 g |
dont sucre | 5.5 g |
Protéine | 18.4 g |
Sel | 1.6 g |
Ingrédients: Noix de cajou grillées(Bénin/Burkina Faso) 96.4%, Za'tar (Palestine) 1.9% (Za'tar: thym sauvage, sumaq, cumin, sel, acide citrique, sésame), sel de mer 1.5%, fécule de pommes de terre 0.2%
COULIBALY SALAMATA ELISABETH
BÄUERIN AUS TAGA, BURKINA FASO
Wenn ich mehr Land hätte, würde ich Bienen züchten.
"Wenn ich meinen Beruf wechseln müsste, würde ich Geflügelzüchterin werden", sagt Coulibaly Salamata Elisabeth. "Der Anbau von Cashew-Nüssen hat aber eine vielversprechende Zukunft.” Der Bäuerin macht es Spass, ihre Bäume zu pflegen und Felder zu pflügen, wie sie sagt. “Ich hätte allerdings gerne Hilfe, um meine Flächen mit möglichst vielen Kulturen anzureichern. Dann würde ich zum Beispiel Mangobäume pflanzen und meine Cashew-Produktion vergrössern. Denn ich habe acht Kinder und das sind viele Mäuler, die gefüttert werden wollen."
